Cette nuit là, non pas un rêve, mais un cauchemar survint dans mon esprit. Enfin, je prenais ça comme un cauchemar puisque je n'avais jamais eu de rêve. Pourtant, celui-ci y ressemblait vaguement. J'étais là assis dans un clairière, à attendre, tout en contemplant les étoiles. Seule une étoile s'illuminait plus que les autres. Une étoile pas comme les autres. Une étoile... Céleste. J'avais pensé à Étoile Céleste, notre meneuse. Mais que voulait-il dire ? D'un seul coup, ma vision se voila me faisant sursauter. Les ténébres envahirent mon champ de vison avant que mes paupières ne s'ouvrent. Je sentit tout à coup mes muscles endoloris, enfin, après avoir bailler, je m'étira en me levant tout doucement pour ne pas avoir mal. Plusieurs guerriers étaient déjà lever dont mon beau frère, Plume de Comète,  que je voyait au loin, dans la vaste clairire du camp. Je sortis de la tanière des guerriers en évitant agilement une queue étendue sur le sol qui appartennait certainement a un chat profondement endormis. Je m'approcha du mâle sereinement tout en le saluant. Je decida de m'assoir a côté de lui et d'enrouler ma queue autour de mes pattes en attendant son salut.

Je vois Coeur Sentimental déboulait avec sa meilleure amie des bois. Je me demande ce qui se passe quand je réalise le moment. Notre enfant allait arrivé ! Je me presse et aide ma bien-aimée quand tout a coup j'ouvre les yeux. J'ai encore rêvé de ce merveilleux moment. Depuis cette expérience, je rêve de cette histoire toute mes nuits. Mais sa a tendance a ce calmé ces temps si. Je me lève donc dignement et sors de la tanière des guerriers. Je voulais rendre une visite a ma compagne mais mon ventre en décida autre chose. J’allai donc a la réserve de gibier et pris une prise bien fraîche qui devait daté de ce matin.
Mon repas enfin terminé, je me dirigea vers la pouponnière quand je m'arrêta au centre de la clairière pour faire ma toilette. Je l'entreprit doucement mais avec des coup de langue vigoureux un peu partout sur moi. Quand je termina ma toilette, je fit une pause. Je mis ma queue autour de mes pattes, et, le dos bien droit, regarda le camp. Ce merveilleux camp. Je le balayais du regard quand je vis Nostalgie du Temps débouler du gîte des guerriers en se dirigeant vers moi. Il s'approcha et s'assit comme moi, la queue enrouler autour des pattes. Il me salua en attendant le mien. Je le salua donc d'un hochement de la tête.
"- Bonjour Nostalgie du Temps !" Dis-je enthousiasme. "- Comment va-tu ?"